L'enjeu principal est la reconnaissance ou non d'une raison impérative d'intérêt public majeur (RIIPM) qui permet de déroger légalement à la destruction d'espèces protégées ou de leur habitat. Sans cette reconnaissance, l'autorisation environnementale est passible d'être considérée comme non régularisable, ce qui invaliderait totalement le projet.
À noter que celle-ci a été reconnue à titre provisoire, comme motif pour rejeter un référé plaidant son inexistance pour ce projet, sous prétexte de « rééquilibrage de Castres avec les autres villes moyennes autour de Toulouse ».