Après c'est vrai y a une différence entre un référé contestant le projet dans son ensemble et un qui conteste un aspect très spécifique de ses travaux.
Outre la RIIPM, l'autre objet majeur du contentieux concerne les compensations environnementales, principe selon lequel toute perte de biodiversité et fonctions écologiques causées par la réalisation d'un projet d'aménagement doit être compensée pour éviter une perte nette. À titre provisoire le tribunal administratif a jusque-là refusé de reconnaître cette perte nette suite aux dépôts de référés. Espérons que l'instruction suite à ces rejets permettra de la mettre en évidence sur le fond.