Vous avez fort le droit de vous ficher de mon opinion, de penser que je suis une Bisounours et d'exprimer votre indignation politique de la manière qui vous sied.
Mais chaque fois je m'interroge. Chaque fois je me dis qu'on confond la lutte et la rage, la force et la violence.
On pourrait être pragmatique, et se dire : au lieu de fantasmer la tête de ceux qui sont contre nous au bout d'une pique, dépensons notre énergie mentale à convaincre ceux qui pourraient être avec nous.