Les gens qui ont lu le livre de Sarah Wynn-Williams l’auront appris dans le texte, les autres (moi compris) découvrent au compte-goutte les dingueries mises en place par Facebook pour extraire de l’argent de la manière la plus optimale sans se soucier de l’éthique.
Ici on apprend donc que Facebook avait une règle pour les comptes d’adolescentes : lorsque l’une d’elle supprimait un selfie, c’était un signal pour lui servir des pubs pour produits de beauté. Les moments de vulnérabilité psychique n’étaient qu’une occasion de plus pour afficher des pubs et faire du fric.