@LuvGreenTea2019@HebrideanHecate You also, over there, have a security sign up thingy, a double verification thing going on, there is an app for cellphones and you can also use a web browser version to hop on
Will we be banned for "transphobia" there or using the wrong pronoun? Spinsters is a feminist site with a lot of women who are gender critical.
Like Hebs said, in a private group, no one knows outside of the group what is going on inside the private group. You also, like of Facebook, have your own profile page for a bio, uploads etc. There is a limit to uploads, I believe it is 8 GB disk space? Not sure if they changed that rule or not. But even then, 8 GB in gifs and jpegs is still enormous.
@GrumpyOldNurse@Cousin_Isobel Homelessness to me is a combination of things. Ever since they closed down entire wings and beds in psychiatric institutions, we’ve seen a rise in homeless people. As you say, Nurse, they self medicate and some become violent. This morning I copy/pasted an article on this and seems like the problem will only get worse, more than likely with even more tragic consequences.
The government has to step in, reinstating the tax brackets that were trimmed down during the Thatcher era (in which only the rich benefitted from), reopening psychiatric beds and care units, investing heavily in social housing.
@tangleofsnakes You know, for some strange reason, I always kept thinking you were either lesbian or bisexual. With all your dating app horror stories, I think I’ll remember to the day I die that you’re straight 😂
Deux fusillades distinctes ont été rapportées aux policiers, hier soir vers 19 h, à Lewiston, dans le Maine. Ces fusillades ont eu lieu dans une salle de quilles et un restaurant-bar.
Dès 20 h, le bureau du shérif du comté d’Androscoggin a publié des photos du suspect et a suggéré aux entreprises de verrouiller leurs portes et de cesser leurs activités pendant que la police enquête.
En plus de Lewiston, la ville voisine d’Auburn a demandé à ses citoyens de se confiner en raison des dangers posés par la présence potentielle d’un tireur.
Le tireur présumé a été identifié comme Robert Card, 40 ans. Ses mobiles restent inconnus. Selon CNN, qui cite des sources des forces de l’ordre, Card est un réserviste de l’armée, instructeur certifié en armes à feu.
Un conseiller municipal de Lewiston, Robert McCarthy, affirme que les fusillades ont tué au moins 22 personnes et fait de 50 à 60 blessés. Il a indiqué sur les ondes de CNN que les hôpitaux locaux ne sont pas équipés pour gérer ce type de fusillade.
Deux sources des forces de l’ordre ont toutefois déclaré à l’Associated Press sous le couvert de l’anonymat qu’au moins 16 personnes avaient été tuées et que le bilan pourrait s’alourdir.
Le responsable de la sécurité publique du Maine, Mike Sauschuck, s’est d’ailleurs refusé à fournir un bilan, évoquant “une situation très mouvante”. Les rues sont remplies de policiers à la recherche du tireur, a-t-il expliqué aux journalistes.
Selon M. Sauschuck, la police a localisé un véhicule recherché – un VUS blanc – à Lisbonne, localité située à une douzaine de kilomètresde Lewiston, où les habitants ont également été appelés à rester chez eux. M. Card n’était pas dans le véhicule, selon des informations de presse.
Le président américain Joe Biden a été informé des événements et s’est éclipsé d’un dîner d’État en l’honneur du premier ministre australien pour téléphoner à des élus et responsables, dont la gouverneure Janet Mills, offrant tout le soutien fédéral nécessaire, selon la Maison-Blanche.
Les autorités feront le point, en conférence de presse, à 10 h 30.
La conséquence de cette prolifération est le taux très élevé de décès par arme à feu aux États-Unis, sans comparaison avec celui des autres pays développés.
Hors suicides, plus de 15 000 personnes sont mortes dans des violences par armes à feu depuis le début de l’année dans le pays, et l’attaque de mercredi est la plus meurtrière enregistrée sur la période, selon l’association Gun Violence Archive (GVA).
Ce sont toutefois les fusillades à nombreuses victimes qui marquent le plus les esprits, tout en illustrant le fossé idéologique séparant les conservateurs et les progressistes sur la question de comment prévenir de telles tragédies.
L’histoire américaine récente est en effet jalonnée de tueries, sans qu’aucun lieu de la vie quotidienne ne semble à l’abri, de l’entreprise à l’église, du supermarché à la discothèque, de la voie publique aux transports en commun.
Mais, malgré la mobilisation de plus d’un million de manifestants, le Congrès des États-Unis n’a pas adopté de loi ambitieuse, nombre d’élus étant sous l’influence de la puissante National Rifle Association (NRA), le premier lobby américain des armes.
De fait, dans un pays où la possibilité de détenir une arme à feu est considérée par des millions d’Américains comme un droit constitutionnel fondamental, les seules avancées législatives récentes restent marginales, comme la généralisation des contrôles d’antécédents judiciaires et psychiatriques avant tout achat d’armes.
Lewiston - La police américaine a lancé jeudi une gigantesque chasse à l’homme pour retrouver le tireur qui a ouvert le feu dans une salle de quilles et un bar-restaurant, tuant au moins 22 personnes, la pire fusillade de l’année aux États-Unis.
Ces tueries se sont déroulées mercredi en début de soirée à Lewiston, deuxième plus grande ville de l’État du Maine (nord-est), où la population a reçu pour instruction de rester confinée face au danger posé par cet homme « armé et dangereux » et toujours en fuite, selon la police locale.
Le tireur présumé a été identifié comme Robert Card, 40 ans, et la police a diffusé sa photo. Ses mobiles restaient inconnus. Selon la télévision CNN, citant des sources des forces de l’ordre, Card est un réserviste de l’armée, instructeur certifié en armes à feu.
« Nous avons 22 morts confirmés et beaucoup, beaucoup de blessés », a indiqué sur CNN Robert McCarthy, élu de Lewiston, qui compte plus de 36 000 habitants.
« Nos hôpitaux ne sont pas équipés pour gérer ce type de fusillade », a-t-il ajouté, en précisant qu’il y avait entre 50 et 60 blessés.
Le responsable de la sécurité publique du Maine, Mike Sauschuck, s’est refusé à fournir un bilan, évoquant « une situation très mouvante ». Les rues sont remplies de policiers à la recherche du tireur, a-t-il expliqué aux journalistes.
« Nous avons littéralement des centaines de policiers qui travaillent dans tout l’État du Maine sur l’affaire, pour localiser M. Card », a-t-il déclaré.
Des ambulances sont arrivées du centre du Maine pour soigner les blessés, a déclaré le conseiller municipal McCarthy, et les deux hôpitaux de Lewiston « ont fait appel à tous les membres du personnel en repos de venir en renfort ».
Les directions de plusieurs établissements scolaires du Maine, dont le Bates College, ont déclaré qu’ils n’organiseraient pas de cours jeudi, selon des communiqués.
Ce drame, l’un des plus meurtriers depuis la tuerie de Las Vegas en 2017, est venu immédiatement s’inscrire dans la litanie des fusillades qui endeuillent régulièrement les États-Unis où les armes à feu pullulent et sont facilement accessibles à l’achat.
Le président américain Joe Biden a été informé des évènements et s’est éclipsé d’un dîner d’État en l’honneur du premier ministre australien pour téléphoner à des élus et responsables dont la gouverneure Janet Mills, offrant tout le soutien fédéral nécessaire, selon la Maison-Blanche.
Des photos montrant un homme, vêtu d’un haut marron et d’un pantalon bleu foncé, armé d’un fusil de type semi-automatique qu’il avait épaulé, ont été diffusées par la police du comté d’Androscoggin.
Selon M. Sauschuck, la police a localisé un véhicule recherché (un VUS blanc) à Lisbonne, localité située à une douzaine de km de Lewiston, où les habitants ont également été appelés à rester chez eux. M. Card n’était pas dans le véhicule, selon des informations de presse.
Les tirs ont éclaté dans au moins deux lieux différents, une salle de quilles et un bar-restaurant, selon la police locale. Le FBI de Boston, la police fédérale, a aussi précisé participer à l’enquête.
La police et les premiers secours seraient arrivés au salon de quilles Sparetime Recreation vers 19 h 15, puis auraient reçu des informations faisant état d’une autre fusillade au Schemengees Bar & Grille, selon le journal local Sun Journal.
Plusieurs médias américains ont pour leur part évoqué une autre tuerie qui se serait déroulée dans la même soirée dans un centre logistique d’un supermarché Walmart, des informations qui restent non confirmées.
« Horrifié »
« C’est une situation accablante. Nous n’avons jamais vécu quelque chose de semblable », a témoigné Cynthia Hunter, qui vit depuis 2012 à Lewiston, sur une télévision locale.
Les écoles publiques seront fermées jeudi, a indiqué un responsable du district scolaire sur X (ex-Twitter).
« Je suis horrifié par ce qu’il s’est passé à Lewiston ce soir », a déclaré de son côté l’élu du Maine Jared Golden dans un communiqué.
Les États-Unis paient un très lourd tribut à la dissémination des armes à feu sur leur territoire et à la facilité avec laquelle les Américains y ont accès.
Le pays compte davantage d’armes individuelles que d’habitants : un adulte sur trois possède au moins une arme et près d’un adulte sur deux vit dans un foyer où se trouve une arme.
@BILLSan345 He’s a nasty conceited, narcissistic poser, that guy. Remember when he faked his fleeing to Australia because he said he was afraid for his life right after assaulting KJK, posting on Twitter supposed photos he took aboard the plane, holding a glass of tomato juice in his hands for the selfie? He never left NZ, the pics were all fake.
I wonder if in the UK you are not more and better organized than we are in North America. You have wonderful leaders that inspire and give courage.
We have a few here, but their input is either concentrated on Twatter and they are silenced in the media or I dunno, maybe their possibilities of being part of feminist events are too few and too far in between?
I was excited when I learned KJK would come here to hold Let Women Speak events but she’s probably too busy with her newborn political party and such. Besides, chances are her security team would cost too much with the bloody craziness in Tranada.
@kfaythe87 My only advice would be to try to broaden your location search, maybe? Be ready to travel.
Always remember that women now are, rightfully so, a bit on the defensive and wary with the TRA/MRA offensive/threats we see everywhere on social media, and you need to allow them time to trust you. And vice versa, you don’t want to get doxxed or stalked or whatever those lunatics are ready to do to scare women to shut them up.
Also, my guess is that you might want to reach out to organized groups like @WDI_USA, WoLF (https://womensliberationfront.org/) and other feminist groups to ask for help and if they’ve heard of anything like you are looking for. You could even ask @mk in here to see if she knows anything or has something to recommend you.
It’ll take a lot of patience, perseverance and work to build your contacts you can safely rely on. Women are scattered, prevented from meeting and talking, so hang on and keep looking.
@HebrideanHecate I know, right? This is horrible. I hope the teacher recovers fully and that there are accusations against that fucking dangerous brat. Her parents should get accused of raising a psycho, too.
To think that not so long ago, I despised the word troon. Now I’m so fucking fed up with the Frankenweenie crowd, troon doesn’t even come out as offensive as it ought to.
TeamRealTERF #TeamJuliaLong #IStandWithKJKSuperLesbian, NOT queer. Montréal, Québec. French is my native tongue. Banned from Twitter and now Tumblr. Suspended (technically banned) on Instagram. ?"Someone once asked me what I regarded as the three most important requirements for happiness. My answer was: A feeling that you have been honest with yourself and those around you; a feeling that you have done the best you could both in your personal life and in your work; and the ability to love others." - Eleanor Roosevelt