Je me demande s'il y a un terme précis inventé par nos spécialistes maisons de la taxonomie littéraire pour désigner un sous-genre de l'uchronie où cette dernière serait déclenchée non pas par une bifurcation historique réaliste mais l'incursion d'un élément de fantasy ou de sf.
Et bonsoir ! Presque un an après le précédent épisode, quelle honte, voici la trente-deuxième itération du Tour du Disque, avec Monnayé ! Et bon. 32, ça commence à sentir que ça fatigue un peu. C'est toujours (très) bien, mais ça s'essouffle un peu. https://syndromequickson.com/2024/11/16/le-tour-du-disque-32-monnaye/ Bizoux ! =)
Je me rends compte qu'un truc qui m'épuise depuis un petit bout de temps, c'est qu'à vouloir avoir une éthique et consommer avec un minimum de conscience, je peux vraiment profiter à fond de moins en moins de choses. Y a toujours un truc pour parasiter le moindre plaisir potentiel.
Question littéraire pratico-analytique à la con : Qui d'autre que moi est-ce que ça emmerde, un bouquin dont on change le point de vue l'espace de genre 10% du récit uniquement ? Je suis pas un partisan radical de l'unité de perspective, mais ce manque de cohérence m'énerve, d'une force.
La p'tite insomnie à cause du 'tain de rendez-vous obligatoire France-Travail chez un prestataire privé qui va m'en faire bouffer pendant trois mois demain, on ADORE.
Quand je m'apprête à lire une nouvelle titrée "Discours pour le centième anniversaire de l'Internationale Végétarienne" publiée en 1968, je sais pas pourquoi, mais je suis saisi d'une forme d'angoisse par anticipation...
Alors c'est quand même assez fifou comme coïncidence que le texte choisisse précisément 2024 comme année d'interdiction de l'élevage d'animaux de boucherie. Je me sentirais presque observé.
Si j'avais un euro pour chaque film que j'ai vu cette année qui se finit avec quelqu'un·e qui bousille un truc avec un caillou en hurlant, eh bah j'aurais deux euros. Mais c'est bizarre que ce soit arrivé deux fois.
@aaribaud Mais pour faire court, et parce que je t'aime bien, en gros : un très très très mauvais film accompagné d'une bande sonore IRL constituée d'un motif de hoquet suivi de deux reniflements, en séquence ininterrompue, pendant 1H30. Aucune rancune envers la personne émettant ces bruits, c'est sans doute bien plus dur pour elle que pour moi au quotidien ; mais n'empêche que c'était pénible quand même.
@aaribaud J'aurais rien dit pour le chocolat de toute façon. Bon, le 90 c'est vraiment pas mon truc, mais je trouve que c'est *nettement moins* judgment-worty.
Blogueur prosélyte de l'Imaginaire, explorateur rarement raisonnable. Ne parle pas assez de musique, mais parfois un peu trop de Terry Pratchett.Relecteur pro.#TeamLaitDeCoco