L'impossibilité de vivre sans voiture fait partie du problème. Et une partie des automobilistes sont automobilistes car victimes de cette impossibilité.
Mais c'est très différent des discours cités dans les messages initiaux, dans lesquels les personnes :
- se disent victimes car automobilistes (et non l'inverse)
- associent la voiture à une liberté fondamentale
- refusent les alternatives
Ces discours-là font aussi partie du problème.