De manière ultra surprenante c'est très souvent des 50-60 ans au style bien bourge qui doivent invoquer ordre et l'autorité tous les 4 matins mais ne sont pas capables de respecter une consigne simple si ça les fait un peu chier.
Un jour peut-être que les gens comprendront que ça ne sert à rien de s'installer sur des places vides qui ne leur sont pas assignées dans un TGV bondé.
Même dans une des plus grandes villes de France, obtenir un RDV avec un généraliste à domicile ou réussir à prendre RDV avec un taxi conventionné pour un transport à l'hôpital est devenu mission impossible.
"Plus rien ne marche normalement" me dit ma grand-mère de 91 ans avec une voix désespérée.
Elle perd peu à peu son autonomie.
Pas seulement à cause de l'âge, mais à cause de l'enshitification permanente et du numérique forcé.
Dans un environnement des années 80/90, avec des gens qui répondent au téléphone et des agents dans les administrations, elle s'en sortirait encore très bien toute seule.
Mais ça n'est plus le cas et elle est de plus en plus obligée de demander de l'aide.
@jwildeboer in the English version of point 2, it begins with a bracket and end with a parenthesis. Also, I wonder if this placeholder don't have to stay empty for writing the name of the state.
In the point 3 in french : déplacerà -> déplacer à
- Monter une équipe avec ceux qui sont rejetés de tous. - Croire en eux quand personne d'autre ne leur aurait accordé le moindre crédit. - Les faire jouer ensemble malgré leurs différences. - Leur permettre de réaliser leur rêve malgré tous ceux qui veulent qu'ils échouent.
Je sais reconnaître un bon film de Noël quand j'en vois un.
Le principal du collège nous parle des absences de profs "équivalentes aux autres établissements", à savoir environ 1h d'absence de prof par semaine en moyenne sur l'année.
Je n'imaginais pas que la catastrophe était si prononcée.
De mon temps, si par miracle un prof était absent c'était la grosse bamboche, on fêtait ça comme un passage de comète.
Détail du tableau de 1855 "Vue générale de Paris, prise de l'Observatoire, en ballon" de Victor Navlet exposé au musée d'Orsay.
On voit la place d'Italie avec les pavillons d'octroi et l'ancienne barrière des fermiers généraux (frontière de Paris à l'époque), l'usine à gaz d'Ivry qui occupait l'emplacement de l'actuel parc de Choisy, le pont de Tolbiac et le viaduc de Tolbiac (aujourd'hui démoli).
En haut avec les dômes, l'hôpital de la Salpêtrière.
@joachim je ne retrouve évidemment plus le lien, mais tu as vu passer récemment le site en anglais style "web for the people" qui reprend les bases ? Ça me fait penser à cette saine démarche.