Donc, pour le plaisir, débunkons un peu le débunkage.
Tout d’abord, compter pour 1 % des émissions du secteur du transport parisien pour vendre du cassoulet et des SUV c’est déjà beaucoup je trouve.
N’oublions pas que la première question à se poser pour s’inscrire dans une démarche numérico-écologique c’est de se demander « si l’utilité du service est avérée ». Ce n’est pas moi qui le dit, c’est l’Arcep.
Pas sûr que la pub passe ce test.