Qu'une femme décide de monétiser son apparence ou ses performances (sexuel ou non) via cam ne pose aucun soucis en soi. C'est vraiment le % pris par la plateforme qui pose question. Dans une société tertiaire comme la nôtre, on accorde beaucoup plus de marge aux distributeurs et sociétés parasites qu'aux producteurs de contenu, ce qui est une aberration (cela s'applique aussi à l'agriculture, le monde culturel, ...). Au-delà du tarif, c'est surtout la répartition qui se doit d'être équitable.