Une fois j'avais une héroïne très "femme-enfant" (comme c'est original) dont on nous précisait qu'elle "détestait le café" (pour renforcer le côté femme-enfant, j'imagine, genre "ouh la la ce goût amer, trop adulte pour une femme-enfant"). Une quarantaine de pages plus loin, elle commence sa journée, comme ça chaque matin, en se préparant un bon café.