La crise sanitaire nous a entraînés dans une binarisation qui est préjudiciable non seulement au débat public, mais aussi à l’approche scientifique. On s’est transformé en « croyants », dogmatiques et évinçant toute démarche de questionnement. Perso je fais pas mal mon auto-critique. J’ai participé à cette binarisation et aujourd’hui je le regrette, car je vois des effets politiques terrifiants. Parce que déshumanisants.