Quant aux arguments linguistiques, j'y suis très sensible, étant moi-même chercheur en psycholinguistique. Malheureusement, l'Académie Française que vous citez n'a pas d'expertise en la matière (ainsi, à ma connaissance aucun de ses membres n'est linguiste de formation ni ne publie d'articles dans des revues de linguistique). Par ailleurs, le fait même d'être des femmes ne confère malheureusement pas, en soi, aux quatre académiciennes une connaissance plus approfondie de la linguistique...