7. Dans leur pays, ils vénéraient aussi bien le ciel que la mer. Pour toutes les raisons du monde, la chasse et la pêche par exemple.
Mais ils savaient aussi que les courants des rivières et des mers étaient conscients et que ceux qui périssaient noyés dans leurs eaux étaient aussi ceux qui avaient quelque chose à se reprocher aux yeux des divinités, les dieux des airs faisant la communication entre les deux royaumes.