Je viens de lire le dernier numéro de L'envolée, journal le plus censuré de France, qui dénonce les conditions carcérales et l'inanité de ce système. Je vous mets les refs en image, et je découvre jailcar, le blablacar non marchand de la taule, cf image 3
Mais détails que tout cela : ce qui me gêne plus, c'est que le nom de ma co-productrice Myriam Prévost, sans qui rien n'eut été possible, n'apparaît pas (et hop ! un effet Matilda). Alors je vous redonne son nom : Myriam Prévost !
Je découvre qu'une certaine Carole Lefrançois de Télérama cause du podcast "Dans la peau d'un cadavre". Sympa ? Je ne sais pas. C'est à l'emporte-pièce, j'y "exagère ma coolitude" (pour le savoir, faudrait qu'elle m'ait rencontré), "de nature (??) fièrement (??) sceptique et hautement rationnelle (mdr)", et si je prends mes invité·es comme des ami·es c'est qu'iels le sont pour la plupart. (1/2)
L'arrangent : Libye 2011, Gaza aujourd'hui par exemple) Ami•es d'autres pays, une question : vous en avez vous aussi des personnages comme ça, dont la cuistrerie n'a d'égal que la puissance ? Tous nos intellectuels, Bourdieu, Bouveresse, Castoriadis, Aron, Vidal-Naquet, Nora, Le Roy Ladurie l'ont trouvé mauvais et dangereux, mais non, il reste là, comme une énorme bernique. Je me demande si ce n'est pas une spécificité à nous, en France..
J'avais raté cet encart : ARTE change ses statuts pour maintenir Bernard-Henri Lévy (le philosophe le moins étudié de France*) à la tête de son conseil de surveillance, qu'il occupe depuis 1993 ! (*ce qui ne l'empêche pas de pousser les décideurs dans les guerres qui
URGENT L’Atypik, c'est un resto de #Grenoble non seulement très bon, mais surtout un lieu assez unique qui œuvre à la reconnaissance et à l'emploi de personnes avec #autisme. Depuis le COVID, la structure est en péril et risque de mettre la clé sous la porte après 11 ans de boulot. Venez y manger, ou souscrire à l'asso !
Ton pote prof participe au salon des métiers de son lycée (en Isère) Il est au stand "humanitaire". Au même stand, il y a.. L'armée (???) Et ça distribue des goodies aux élèves, comme ce porte-clé fusil d'assaut, qui tire de la lumière (même pas sûr que ce soit le HK416F) Bonjour l'humanitaire vu par l'Armée
@Lokeye Donc oui, je n'ai pas le temps d'intervenir sur les RS, j'en suis moitié navré, moitié content. Et pourtant comme tu le vois, je réponds quand on me tague. Alors je pense qu'il faut nuancer ta remarque. Amitiés
@Lokeye@MarcBrillault "Je fais mes trucs dans mon coin". Je trouve ça vaguement désobligeant - je me fais des amphis plusieurs fois par semaine, je gère plein de travaux étudiants, je produis des ressources et des écrits, je suis dans le comité d'éthique de mon univ, je prends des tombereaux d'ennuis à ferrailler dans les universités contre des théories foireuses.
@jenesuispasgoth@Lokeye Ah ok, alors désolé, je n'avais pas compris ça (il faut dire que c'est un reproche qu'on me fait souvent de ne pas suivre le Youtube Game ou autre). Désolé si je t'ai prêté ce reproche, Lokeye
« L'intérêt qui s'attache, pour l'Église catholique, à la conservation des données personnelles relatives au baptême (...), doit être regardé comme un motif légitime, impérieux, prévalant sur l'intérêt moral du demandeur ». L'argument de l'institution religieuse est que ce sacrement ne peut être donné « qu'une seule fois dans la vie d'une personne, exigence à laquelle pourrait faire obstacle l'effacement définitif de l'enregistrement ». Si quelqu'un·e changeait d'avis... ->
J'avoue, ça me laisse pantois. "Sacrament Ostie d'câliss", comme on dit au Québec même si c'est mal de le dire (je laisserai à Dieu la possibilité de me châtier pour ces grossièretés s'il le souhaite)
Image du début : celle d'un prêtre de la collégiale de Champeaux, qui gifle un bébé en 2018. Vous me direz, calotte, veut dire gifle aussi.
Le Conseil d’État a dû se prononcer il y a quelques jours sur le RGPD, et... il a donné raison à l’Église catholique ! Qui pourra donc continuer à conserver les données personnelles d'individu, quand bien même ces derniers demanderaient explicitement leur suppression. La décision du Conseil d’État place donc la volonté de l’Église catholique au-dessus de celle des citoyen·nes qui souhaitent qu'elle les oublie :