Notices by Monsieur G (gend4r@piaille.fr)

@aaribaud J’imagine que ça doit faire le buzzzzz dans la communauté insecte.

J’ai testé la compost de pommes. C’est dégueu.

#Cinemars est de retour pour l’édition 2025. Ma dame et moi avons choisi chacun 15 titres de films que nous avons placé dans un pochon. Et le soir, on tire un film au sort.

Paris, Texas de Wim Wenders: on commence très fort avec un chef d’œuvre. Tous les aspects du film sont au sommet. La photo, la composition des plans, la musique, les acteurices sont tous au diapason d’une histoire très touchante qui prend le temps pour se révéler et nous permet de contempler la beauté de l’Ouest américain. Palme d’or en 1984 qui me semble amplement méritée
#Cinemars

Daaaaaalí ! de Quentin Dupieux: J’étais malheureusement dans un état physique qui ne m’a pas permis de pleinement apprécier le délire de Dupieux. Mais j’ai quand même pu apprécier la réalisation rigoureuse et nonsensique. Un film court, drôle et original. Par contre, j’ai pas été toujours convaincu par les différents acteurs qui cabotinent dans le rôle du peintre.
#Cinemars

Le cercle rouge de JP Melville: Toujours cette réalisation millimétrée avec une photographie froide et des héros taiseux. Film de braquage et d’enquête efficace.
#cinemars

Mad Max 2 de G. Miller: Pas vu depuis que je suis devenu un adulte. Dans mes souvenirs, c’était 2h de poursuite en camion. Finalement, le film dure 1h35 et il y a 15 minutes de camion, totalement dingue pour un film tourné en 1981. A l’époque, j’étais passé complètement à côté de la réalisation de Miller qui est diablement efficace et inventive.
#Cinemars

Les 12 travaux d’Asterix de Goscigny et Uderzo: Moins que dans mon souvenir. Les dessins et l’animation sont parfois pas terribles. Toutes les épreuves ne se valent pas mais dans l’ensemble, on passe quand même un bon moment.
#Cinemars

Moonrise Kingdom de W. Anderson: mon préféré du réalisateur. Le film est doux et mélancolique mais pourtant parcouru d’un humour qui fait mouche et reposant bien souvent sur le montage et le cadrage.
#Cinemars

Thirst de Park Chan-Wook: le réalisateur nous offre plusieurs films en un en baladant et surprenant son spectateur avec son approche originale des vampires. C’est sensuel, sanglant, tordu et drôle. J’ai bien sûr adoré mais je ne suis pas objectif avec le monsieur.
#Cinemars

I saw the TV Glow de J. Schoenbrun. Il fallait bien une première fois. Je me suis assoupi devant le film. Le rythme lent et une histoire qui tarde à se mettre en place ont eu raison de moi. Ce que j'ai vu du film produit par A24 m'a semblé être un exemple parfait de ce que je n'aime pas dans un certain type de films indépendants.
Ma dame a adoré, elle.
#Cinemars

Le Garçon et le Héron de H. Miyazaki #cinemars

https://monsieurg.net/le-garcon-et-le-heron/

Astérix et le domaine des dieux de A. Astier: une adaptation plutôt réussie. L’écriture de l’auteur de Kaamelot colle pas mal à l’esprit râleur des Gaulois. Mais c’est un peu longuet, probablement un problème de rythme.
#cinemars

Le Corniaud de G. Oury : de très bons dialogues, de jolies courses poursuites et des relations hommes-femmes plutôt saines ce qui est plutôt remarquable pour un film des années 60. De Funès et Bourvil sont impeccables.
#cinemars

Zatoichi le masseur aveugle de K. Misumi: le tout premier film mettant en scène le ronin aveugle. Un récit très efficace où le héros est confronté à la cruauté et la duplicité humaine. Sa relation avec le samouraï adverse est très belle. Et la réalisation de Misumi offre quelques très jolis plans.
#Cinemars

Emilia Perez de J. Audiard: après tout le récent déferlement de haine que s’est mangé le film, je voulais l’aimer. C’est loupé. Fan de comédie musicale, je n’ai absolument pas eu mon compte avec des chansons chantées sans envie et sans talent. Quand à l’histoire, j’ai l’impression qu’on est complètement passé à côté en se dispersant partout.

#Cinemars

Anora de S. Baker : Je savais que c'était une sorte de Pretty Woman moderne et moins angélique. Et je dois dire que je m'attendais pas du tout à ça avec une bascule complète après sa première partie où tout part en vrille. J'ai vraiment adoré. Les acteurices Mikey Madison en tête livrent des performances solides. Et Sean Baker livre vraiment de très belles images et j'aime beaucoup son choix de caméra (Un grand angle?) qui donne un côté un peu fisheye à ses plans qui donnent une atmosphère particulière à son film. Si vous aimez les virées nocturnes et les Soprano à la sauce russe, ça peut vous plaire.
#Cinemars

Astérix le Gaulois de R. Goossens: l’animation a pris un coup de vieux mais il reste tout de même quelques bonnes séquences. Mais on voit que la mécanique de Goscigny est pas encore en place.

#Cinemars

My Fair Lady de G. Cukor: j’ai beau aimé les comédies musicales, 3h c’était peut-être un peu trop. Mais Audrey est drôle et rayonnante mais est malheureusement doublée pour les chansons alors que dans les bonus elle a un joli brin de voix. Le film est beaucoup critiqué pour sa misogynie. Je suis circonspect. Le personnage du professeur est quand même tourné en ridicule mais comme à la fin, il emballe la fille, c’est ambigu. Mais ça reste un film charmant et qui fait péter le Technicolor.
#Cinemars

Alabama Monroe de F. van Groeningen: J’ai tenu 25 minutes. Pas que le film soit mauvais mais sa thématique que j’ignorais, était trop dure à encaisser pour moi. Hashtag je suis pas venu là pour souffrir.
#Cinemars