Le vélo est nul.
Pas de lobby pétrolier, immobilier ou bancaire pour le rendre financièrement attractif sous perfusion. Pas de dictateur fasciste pour lancer un « vélo du peuple ».
Le vélo est nul.
Son utilisation n’a pas justifié de complot, de guerre et de renversement de pouvoir. Le prix de l’énergie servant à déplacer le vélo ne fluctue pas suffisamment pour déclencher des crises économiques, des crashs boursiers et des coups d’états.
4/8