@nevertwhere Alors basiquement (en tout cas à l'époque de la rédaction de ce dossier) elle pensait que le fandom de SF n'était pas assez exigeant, que la critique n'était pas au niveau, et que certains de ses collègues écrivains se laissaient trop facilement aller à la médiocrité. Zelazny se prend une balle perdue à ce moment-là, d'ailleurs.