⤵️ Violences économiques et mortalité financière
Gabrielle, elle, n’est pas sortie de l’enfer. Comme elle n’a pas divorcé, le fisc la considère comme complice de la dette. Or, son mari s’étant organisé pour rester domicilié dans la maison familiale, il n’a jamais été possible de lui délivrer une assignation pour divorce, et aujourd’hui, elle n’a plus de quoi financer les frais de procédure.
Gabrielle est « hébétée et épuisée », comme ses enfants, par cette spoliation sans fin, « hors de portée des coups, mais molestée et morte économiquement et intérieurement ».