On y trouve, entre autres, la ré-autorisation des néonicotinoïdes – les insecticides tueurs d’abeilles –, l’autorisation de l’épandage de pesticides par drones, la mise sous tutelle des préfets de l’OFB (Office français de la biodiversité) et la possibilité, pour le ministère de l’agriculture, de suspendre des décisions de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) quant à la mise sur le marché de produits phytosanitaires. En clair, de nouveaux reculs, autant pour la préservation des écosystèmes que pour la santé des populations."