Le sujet n’est pas que là. Un autre sujet est celui de la souffrance. Nous ne voulons pas transmettre la vie à un humain auquel le seul avenir promis n’est fait que de souffrance.
« Face à l’effondrement annoncé, les jeunes adultes proposent une grève des ventres, le boycott des enfants. Mais craindre que la naissance d’un être augmente la destruction du monde, c’est considérer que celui-ci se montrera aussi incapable que nous aujourd’hui. »
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