Pour résumer, dans le monde animal, le leader est rarement seul au pouvoir ; s’il veut le conserver, il est obligé de le partager. Il peut être indifféremment un mâle ou une femelle. Mais il doit avant tout détenir une qualité essentielle : le charisme. « C’est le tempérament de l’individu qui fait vraiment la différence, constate l’éthologue. Le chef n’est pas le plus fort ou le plus agressif, mais celui qui est le plus capable de générer un consensus ou celui qui est reconnu pour son expérience. »