Or, il apparaît que chez de nombreuses espèces, les femelles ont une part aussi importante que les mâles dans les prises de décision. Odile Petit note qu’il faut se méfier des apparences : « Par exemple, chez les chevaux sauvages, les éthologues ont longtemps pensé que l’étalon, qui était le plus impétueux et qui mordait les femelles, était le dominant du groupe. Mais, par la suite, ils se sont aperçus que c’était, en réalité, les femelles qui prenaient les décisions. »