Bon à l’usage de last.fm après une journée, je retrouve le sillon d’habitude dans lequel j’étais engoncé quand je l’utilisais fréquemment : pour avoir de « belles » stats d’écoute, j’ai tendance à écouter un album jusqu’au bout, même si je dois le laisser tourner dans le vide. Histoire que les dernières pistes de l’album soient bien comptées comme les premières. Histoire qu’elles soient pas tristes de se sentir abandonnées, tu vois. Tristes et envieuses de pas être écoutées autant que celles du début de l’album, genre.
Le truc pas possible, évidemment.
Mais quand même.