Je sais que je ne devrais pas, mais je ne résiste pas à la tentation de vous partager ce « dessin hommage » de Plantu, qui sous vos yeux achève définitivement sa mutation de grabataire obsessionnel confusionniste complètement liquéfié. J’en ai vus des saloperies (et j’étais en sevrage), mais là ça confine au sublime.