Je concède avoir trouvé cet article sur le corail Paris-Bruxelles assez charmant. Il a le mérite de dire les évidences: il y a un marché pour un train ordinaire pour les gens ordinaires. Mais le transport ordinaire pour les gens ordinaires doit-il être à la merci du "marché" ? Ainsi le OuiGo lent Paris-Lyon a déjà disparu. Disons alors "il y a un besoin" plutôt que "il y a un marché".
Je m'en vais justement rejoindre quelqu'un à la gare, qui arrive de Paris par un OuiGo lent. Il est parti d'Austerlitz, qui est de que l'aéroport de Beauvais est à CDG, soit concurrentiel avec les années 50. Peut-être bientôt des départs de Juvisy.