Par exemple, cet algorithme stigmatise directement les mères précaires. Elles vont subir un plus grand nombre de contrôles, qui peuvent aboutir à des suspensions abusives de couverture santé pour l'ensemble des membres du foyer, dont les enfants.
Il y a un an nous montrions qu'un algorithme similaire est utilisé par la CNAF pour surveiller 30 millions de personnes et cibler les personnes pauvres, les familles monoparentales ou les personnes en situation de handicap.
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