Le livre est écrit par Véra à la première personne, dans un style déglingué, touchant, et qui va droit au cœur. Un mot pour un autre ici, une expression subvertie là, assez pour stimuler le lecteur, mais jamais trop. L'auteur évite tous les pièges, ne tombe jamais dans la caricature, et nous livre au contraire un formidable message d'espoir dans la jeunesse, et dans toutes les alternatives à Goliath, déjà existantes pour certaines.