Point bonus : le fait de pouvoir corriger ses pouets de 500 signes après publication, et autant de fois qu'on veut (les gens qui ont "boosté" ou "favorisé" en sont toujours avertis), ça change RADICALEMENT l'expérience de micro-blogging. Le stress induit par le design de Twitter n'existe tout simplement pas ici, et ça désamorce mille et une situations potentiellement tendues.