Bien entendu, que je le veuille ou non, je suis obligé de subir par la bande les Jîhôs. Et, donc, la Marseillaise, de tempt en temps.
Et, donc, c’est plus fort que moi. À la fin de la dernière strophe, automatiquement j’ajoute :
« (…) qu’un sang impur /
abreuve nos sillons /
… patapon ! »
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Vincent Corlaix (vcorlaix@imaginair.es)'s status on Sunday, 04-Aug-2024 03:28:42 JST Vincent Corlaix