19 – adelphes
Le corps commençait à se sentir un peu… frisquet? Il n’y avait plus les infirmières pour le peser, mesurer, piquer, contrôler, nourrir, médiquer à intervalles réguliers, et c’était bien! C’était bien, mais on ne savait pas si on pouvait gérer sa survie toute seule. C’est comme ça qu’on a rejoint les autres, parce qu’on avait besoin d’elles. Plus tard, elles diront qu’elles avaient besoin de tout le monde, qu’elles avaient besoin d’on aussi, que c’est ça, une société.