Elles l'exigent sous prétexte que "des salariés" supposés auraient été choqués par les affiches, en refusant d'élaborer. Ces directions se sentent déjà légitimes à enfreindre la liberté d'expression en jugeant seules de ce qui aurait le droit d'être dit ou non.
Voilà la réalité des entreprises de cette "première industrie culturelle" qui, sous couvert de "bienveillance" et de "neutralité politique", s’accommode en fait parfaitement de la possibilité de voir l’extrême-droite au pouvoir.
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