On pose sur une litière le corps de Pallas, si frais, délicat et beau que Virgile le compare à une fleur coupée par la main douce d'une demoiselle, avec des étoffes précieuses, les dépouilles des ennemis et au passage des prisonniers à offrir en sacrifice humain.
Et on envoie tout ça chez Évandre, roi de Pallantium et papa de Pallas.
J'espère qu'il était à son domicile pour réquisitionner le convoi funèbre. Rater ce genre de livraison... Imaginez la gueule de l'avis de passage.