Pousser le voilier à l'eau m'immerge jusqu'aux chevilles, genoux, hanches. Je m'y hisse et m'efforce d'invoquer mes lointains cours de voile des tréfonds de ma mémoire. Je reprends le pli.
La berge disparaît bientôt.
Je vogue.
Je vous donnerai de mes nouvelles un jour, depuis cet océan qui n'est ni l'Atlantique, ni le Pacifique, ni l'Indien, ni l'Arctique, ni l'Antarctique.
D'ici là, je vous souhaite une belle traversée - quoi que vous traversiez.
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