À l’heure où Gérald Darmanin vitupère contre les "écoterroristes" de Sainte-Soline, l’affaire dite du 8 décembre (la DGSI l'appelle "le dossier punks à chien"...) pose une question cruciale : où s’arrête le maintien de l’ordre et où commence l’antiterrorisme, avec son cortège de mesures dérogatoires qui, demain, pourraient viser des milliers de personnes ?