J'ai 51 balais, j'ai la chance immense de gagner correctement ma vie en faisant un métier de branleur et, pour la première fois de ma vie, j'ai décidé de prendre une femme de ménage.
Eh ben, je peux le dire : c'est ça, le vrai luxe.
Y m'font marrer les autres débiles avec leurs Rolex et leurs Porsche et leurs voyages aux Seychelles mes couilles. Le vrai luxe, mon pote, le vrai putain de luxe, c'est une femme de ménage. Ce kiff. Mais ce kiff, quoi !
Ça valait le coup d'attendre.