L’odeur dans cette section du vaisseau était abjecte. La combinaison biologique parvenait à filtrer tous les composants dangereux, mais rendait les armes devant ces molécules olfactives. Pourtant, l’ordinateur de bord était formel, le navire était désert depuis fort longtemps, il n’y avait plus personne à bord. Qu’est-ce qui pouvait bien produire une telle flatulence ? Avisant de petits objets sur le sol, elle comprit : ce devait être une nurserie, et il y avait une couche cachée.