Il ne reste qu'un pauvre bateau, qui se traîne lamentablement vers Marseille pour annoncer la défaite.
Autant dire que c'est pas trop la nouba dans les rues de Marseille ce soir-là.
Cependant, les assiégeants césaristes galèrent toujours à prendre la ville si bien armée de catapultes.
Alors, ils construisent un truc.
Et quel truc.
Un truc si truquement truqué que César nous le décrit pendant 2 pages.
La lectrice va vous faire un aveu, ami.e.s mastodontes. Elle a lu ces 2 pages. Plusieurs fois.