Les claviers mécaniques nous ont permis d’aligner des glyphes sur une ligne infinie. Les écrans tactiles ont offert une deuxième dimension pour communiquer. Ce n’était qu’une question de temps avant qu’on ne cherche à conquérir la troisième dimension, avec des capteurs suivant les mouvements des doigts. En référence aux fonctions mathématiques utilisées pour transformer la danse digitale en variation de vecteurs dans l’espace, ces interfaces furent nommées gradientes.