Des individus suicidaires, ça existe partout. Mais une espèce entière, c’est la première fois qu‘on rencontre ça. On l’a remarqué dès les premiers contacts. Au début, on a essayé de comprendre, on a prélevé quelques individus, cherché à savoir si le problème était hormonal, neuronal… Nos analyses n’ont rien donné. Pour éviter tout risque de contamination, on a placé ce système en quarantaine. On vient de désactiver deux sondes extrasolaires pour parer à tout risque de transmission.