4. Aléatoire.
Quand il avait commencé à écrire, il disposait de manière aléatoire les mots sur la page, en choisissant ceux dont les sonorités lui paraissaient les plus profondes : maelstrom, zéphyr, amplitude, entre autres. Plus tard, il s'aperçut qu'il fallait faire des phrases, peut-être même leur donner un sens, assembler les pensées dans un discours. Mais plus il construisait, plus il pensait que cette construction était une autre forme d'aléatoire, simplement plus sophistiquée.
#writever