Voici le laboratoire où nous travaillons sur de nouveaux virus extrêmement dangereux. La sécurité est évidemment maximale pour éviter qu’ils ne se propagent. Elle repose sur plusieurs couches. La première est au niveau de l’ADN des organismes eux-mêmes, que nous avons modifié pour garantir qu‘ils s’autodétruisent avant d’avoir acquis les technologies nécessaires pour s’échapper à leur planète de culture. Une sorte d’obsolescence programmée si vous voulez, qui généralement suffit.