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5/Burn Out
Le premier jour, il avait plaqué la console onirique après des heures de sommeil paradoxal mais stérile, sans rien arriver à dreamcoder, et était sorti jogger sur les coursives de la station, avait sauté à la corde, puis était parti faire sa compta à l'openbüro.
Des jours sans sommeil paradoxal.
Tout son boulot d'onirodév en dépendait pourtant, et avec lui les mises à jour de la gestion technique de la Station.
Le Burn-out.
Des journées à s'épuiser sans arriver à rêver.
#writever