Cette nouvelle action suscitera-t-elle à nouveau un outrage mondial, une réaction aussi disproportionnée que l’acte lui-même est dérisoire au regard de l’ampleur du désastre qu’il tente tant bien que mal de dénoncer ?
Je n’en serais pas surpris, mais toujours atterré.
Ma position a peu évolué depuis 2022 et le jet de soupe à la tomate sur la vitre des Tournesols pour dénoncer la dépendance aux fossiles qui faisait exploser les prix (« They can’t afford to heat a can of soup »)
Il y a à peine un an, rebelote : encore de la soupe, mais cette fois par des activistes françaises de Riposte Alimentaire, qui voulaient mettre dans le débat public le droit à une alimentation saine et durable pour tou·tes — durables aussi pour les personnes qui la produisent.