🕹️ #jeux J'avais été un grand fan de STALKER, alors en attendant STALKER 2 je me suis timidement mis à Chernobylite. Et j'aime beaucoup. On y retrouve l'esprit de Stalker : un monde ouvert, dangereux. La différence (appréciable) avec STALKER c'est que vous avez des compagnons et une base que vous pouvez améliorer petit à petit avec des ateliers. Cela vous oblige à explorer pour récupérer des matériaux de base. (suite)
Pas de sauvegarde à volonté. Ce sont des checkpoints. Je ne suis pas fan. Quand vous demandez "sauvegarder" il vous dit de quand date le dernier checkpoint. J'en ai eu à 30 secondes, mais aussi à 8 minutes. 😕
Les devs devraient savoir qu'on a une vie et qu'on peut avoir besoin d'interrompre un jeu. Mais d'un autre côté, le système de checkpoint vous impose d'être beucoup plus prudent. (suite)
Le jeu commence avec plusieurs séquences différentes bizarrement enchaînées qui font office d'introduction et de tutoriel. Une fois passées, on arrive vraiment dans la partie "survival".
Les musiques sont très bien, et les bruitages aussi.
Là j'ai repéré un hangar avec, a priori, du matériel intéressant dedans, mais il faut crocheter une serrure, et je ne sais pas encore faire ça. Donc je sais qu'il faudra que je revienne.
Je suis très fan de leurs environnements, avec ces endroits abandonnés, délabrés, que ce soit des maisons ou des friches industrielles. C'est un peu de l'urbex-survival, ce jeu. (suite)
Et cette exploration n'est pas sans danger. Il faut explorer prudemment, parce qu'il y a des soldats qui patrouillent, et vous n'avez pas un joli radar avec des points rouges comme dans Stalker. Cela rend l'exploration plus réaliste et dangereuse: il faut avancer, observer, écouter, contourner. C'est mieux que Stalker, en fait. (suite)