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Cartel du tableau à l'exposition "Le Dibbouk" au Mahj Marc Chagall (1887-1985) Les Portes du cimetière 1917 Huile sur toile Paris, mahj, dépôt du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle A son retour en Russie, Chagall peint les portes du cimetière juif de Vitebsk, sa ville natale. En hébreu, cimetière se dit "Bet haHaïm", "maison des vivants", soulignant combien la mort et la vie sont entremêlées dans la tradition juive. Sous un ciel nocturne, Chagall nous place à la frontière de deux mondes.

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Cartel du tableau à l'exposition "Le Dibbouk" au Mahj Marc Chagall (1887-1985) Les Portes du cimetière 1917 Huile sur toile Paris, mahj, dépôt du Centre Pompidou, Musée national d'art moderne - Centre de création industrielle A son retour en Russie, Chagall peint les portes du cimetière juif de Vitebsk, sa ville natale. En hébreu, cimetière se dit "Bet haHaïm", "maison des vivants", soulignant combien la mort et la vie sont entremêlées dans la tradition juive. Sous un ciel nocturne, Chagall nous place à la frontière de deux mondes.
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Thierry Noisette (tnoisette@mamot.fr)'s status on Monday, 27-Jan-2025 01:30:15 JST Thierry Noisette

Ce dimanche, dernier jour de l'exposition "Le Dibbouk. Fantôme du monde disparu" au Mahj (Musée d'art et d'histoire du judaïsme) à Paris. Petit fil 🧵⤵️
Plusieurs tableaux de Chagall dans l'expo, dont ce beau "Les Portes du cimetière" 1/

In conversation about 3 months ago from mamot.fr permalink