extrait d'article : « Beaucoup pensaient que c’était un piège qu’on leur tendait » Apparemment, peu d’habitants en situation irrégulière ont rejoint les centres d’hébergement avant le passage du cyclone, « sans doute par peur d’être appréhendés par la police », soulignait Saïd Omar Oili, sénateur de Mayotte, lundi matin, sur LCI. « Beaucoup pensaient que c’était un piège qu’on leur tendait (…) pour les ramasser et les conduire hors des frontières », a ainsi raconté à l’AFP Ousseni Balahachi, infirmier à la retraite. « Ces gens-là sont restés jusqu’à la dernière minute. Quand ils ont vu l’intensité du phénomène, ils ont commencé à paniquer, à chercher où se réfugier. Mais c’était déjà trop tard, les tôles commençaient à s’envoler. »
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