« Il est apparu dans cette salle une sorte de communion dérangeante et une décontraction apparente », a commenté à ce sujet l’avocate générale. « La formule “Je reconnais les faits mais pas l’intention” a été prononcée dans cette salle comme une formule magique pour atténuer la responsabilité. Mais sachez, messieurs, que les formules magiques ne fonctionnent pas dans une enceinte judiciaire ! », a tonné Laure Chabaud.
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