Text Shot: « Je suis habitué aux terrains difficiles. Je pensais le faire seulement une journée, mais quand j’ai vu que les autorités ne prenaient pas le dessus, j’ai cherché un moyen de les aider. En regardant sur Google Maps, j’ai réalisé que les zones touchées n’étaient pas très loin à vélo. Les routes étaient bloquées, mais pas sur les côtés, ce qui est parfait pour les cyclistes. » Les publications de ses premiers trajets sur les réseaux sociaux ont entraîné des centaines de citoyens à passer à l’action. « On est très efficaces, on peut faire 7 à 10 km en une demi-heure, déposer de l’aide, puis revenir et repartir. Pendant ce temps, les voitures sont bloquées pendant trois ou quatre heures. » Se déplacer en voiture dans les zones sinistrées est en effet toujours très compliqué. Beaucoup de routes restent encore endommagées ou jonchées de débris, alors que les autres sont prises d’assaut, provoquant des kilomètres d’embouteillages.
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