@Qi2Navet Il fut un temps... Un temps où les grèves servaient à avoir un peu plus. Puis il fut un temps où les grèves servaient à conserver le peu que l'on avait. Ensuite vint le temps où les grèves servaient à ne pas trop perdre. Et, pour finir, le temps où les grèves se font chacun dans son coin, avec l'aval des syndicats, sans résultat. ...
Comme il y a deux gammes de clefs Allen (métrique et anglo-saxonne*), c'est peut-être une raison pour qu'elles soient fournies "systématiquement"... (heureusement, d'ailleurs, si l'on n'a pas les deux gammes)... ;)
Alors que les humains faisaient des "sauts de puce" à l'aide de sondes spatiales, bien d'autres peuples dans l'univers conversaient entre eux. Leurs avancées dans le domaine de la physique permettaient cette prouesse, même si cela ne pouvait s'appliquer à des corps solides. Une sorte de réseau social décentralisé, à l'échelle de l'univers, où les peuples se regroupaient par affinités. Pendant ce temps, sur Terre, les humains s'interrogeaient sur la possibilité de vie ailleurs...
Au lieu de chronolithes, gigantesques monolithes, ce furent des chronoroches, petites pierres portant une date que chaque humain découvrit à ses côtés. Bien vite les humains comprirent que la date était celle de leur mort. Et bien vite également, les humains virent que la date la plus éloignée n'était située qu'à quelques mois dans le futur. La société s'effondra. Les suicides collectifs devinrent le quotidien. En quelques semaines, la Terre n'abrita plus qu'une poignée d'humains...
Lorsque ce qu'ils considéraient comme d'hypothétiques prévisions (réchauffement global, effondrement de la biodiversité, crise économique majeure, etc.) devinrent réalité, les plus riches des humains comprirent trois choses : 1 Les zéros sur un compte ne nourrissent pas, 2 L'hypothèse mégalomaniaque de vivre sur Mars resterait à l'état de rêve, 3 Quand l'anthropophagie deviendrait le moyen de subsistance des derniers humains, ils risqueraient fort de se retrouver au menu...
Nous n'avions pas compris. Tel le "spin" (une barrière englobant et isolant la terre) dans le roman de R. C. Wilson, nous avions créé notre "spin-écologique". Nous nous isolions du reste du vivant, dans nos cubes de béton, d'acier et de plastique. Mais un arbre a besoin de ses racines. Ses racines ont besoin de la terre. La terre a besoin d'humus, d'organismes vivants, d'eau, de soleil pour remplir son rôle. Nous étions déracinés. Nos âmes séchaient comme sèche un arbre sans terre...
L'enfance, l'âge adulte ? Tu vois, concernant les étapes de la vie, j'ai une pensée un peu différente... Si l'on en croit "Le petit Robert", l'enfance, c'est la "1ère période de la vie humaine, de la naissance à l'adolescence". Mais j'y vois autre chose. Plutôt qu'un aspect physique, j'y vois un aspect spirituel. Être enfant, c'est croire en ses rêves. Être adulte, c'est croire qu'aucun rêve n'est réalisable. Et, entre deux, c'est désespérer de voir ses rêves d'enfants se réaliser...
- T'as vu, j'ai tout préparé pour le #Writever : les patates, la tome, la crème fraiche, l'enceinte bluetooth et le smartphone pour la musique... - J'te suis pas, là... - Ben quoi ? C'est bien "Aligot-rythme" le mot du jour, nân ? - ...
- t'as vu le mot du jour du #Writever ? - Ouaip. Mon préféré, c'est le premier film. Pis, Optimus Prime, il est cool quand même. - "Transformer", pas "Transformers" ! - Aaaaah... j'me disais aussi !
- Tout de même, patron, faire d'une autonomie aléatoire, un argument de vente pour des voitures électriques... je ne suis pas sûr que cela fonctionne. - C'est parce que vous regardez les faits, et non le concept. Voyez cette marque qui vend ses produits plus chers grâce à ce slogan : “Think different”. Nous, ce sera "Don't be a sheep !". "Ne soyez pas conformistes, soyez aventureux, osez l'inconnu". Ça marchera, pour une certaine classe sociale...
- Tu vas voir qu'ils vont tous parler d'arbres ! - Ben ouais, c'est "Forêt" le mot du jour ! - Tut tut tut. "Foret", sans accent. - C'est une coquille, @FoucPerotin l'a dit ! Pis, tu fais le malin, mais tu vas parler de quoi pour le #Writever , alors ? - Je vais te parler de l'improbable histoire d'un amour impossible entre une perceuse et un foret, séparés à vie lors de l'achat...
- C'est mathématique ! Tiens, prends l'exemple de l'emmental. Ben, plus t'as d'emmental, plus t'as de trous, c'est connu. - Mouiiiiiii...mais quel rapport avec le #writever ? - Ben, c'est la même logique. Plus t'as de sommeil en moins, plus t'as moins d'idées... - ...
- Il y a une forte probabilité que le plan fonctionne. - Tant mieux. Plus vite la Terre sera invivable pour les humains, plus vite nous pourront l'occuper ! - C'est dommage : certaines formes d'art de cette espèce sont uniques dans la galaxie... - N'ayez nul regret : ils ont choisi. Leurs scientifiques les ont prévenu, ce qui n'a nullement freiné leurs activités destructrices. Après tout, n'ayons pour eux que l'empathie qu'ils ont envers les autres espèces de leur planète...
Bovidé cinquantenaire de la Savane Picarde. Linuxien depuis... Mandrake 8 (ce qui ne rajeunit personne :). Habitant du pavillon 36 en attente d'un visa pour le Listenbourg."On aime plus à parler des défauts des autres que de leurs qualités."Chauvot de BeauchêneAvatar : Miss Moon.Bannière : Wilber & mes sabots :)« Il y a des jours comme çaOù tout part en éclatsIl y a des jours, parfoisC'est la rage qui me noie »La rage - Padd'Panik